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Territoire et ECSI, quelle relation ?

Au début du mois de juin est parue la dernière lettre de l’ECSI de ritimo. Publiée quatre fois par an cette lettre, fruit d’une collaboration tournante entre plusieurs membres du réseau, propose à chaque édition de décortiquer une thématique à travers le prisme de l’Education à la Citoyenneté et à la Solidarité Internationale.
Cette fois-ci c’est le rapport au territoire qui est mis en lumière.

La dernière décennie a vu apparaître des mobilisations qui intégraient dans leurs modes d‘action un rapport particulier à l’espace. Il y a eu « nuit debout », « los indignados » ou « occupy Wall Street », mais aussi les places « Maïdan » et « Tharir », et les occupations de place. Les gilets jaunes, la réappropriation des ronds-points comme lieux d’échanges, et les manifestations sans itinéraire déterminé à l’avance. Et enfin les « ZAD » (« zone à défendre ») et la transformation de lieux de lutte en espaces de vie communs et alternatifs.
Si les lieux de mobilisation deviennent également l’espace des possibles, comment l’ECSI, dont l’objectif est la transformation sociale, peut-elle aborder la question des territoires ?

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Pour cette dernière édition La Case a apporté sa pierre à l’édifice en présentant le Rallye des Solidarités comme outil de mobilisation citoyenne, de réappropriation de l’espace public par les habitant·e·s et de cohésion sociale sur un territoire sujet à clivages.
Pour en savoir plus et lire la dernière lettre de l’ECSI, rendez-vous sur le site de RITIMO.