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Avant de monter son projet, le candidat doit se poser certaines questions pour s’assurer que le projet correspond à son profil et à ses aspirations.
– Ai-je les compétences pour ce projet ?
– Quelles sont mes motivations ?
– Suis-je bien préparé mentalement ?
– Suis-je bien informé au sujet de la situation sur le terrain ?
– Quelles seront les conséquences de mon action ?
Les étapes successives
1. Avant de monter son projet, il est conseillé de s’informer auprès des acteurs de la solidarité internationale : associations, collectivités locales, syndicats, établissements scolaires. Ces acteurs sont des interlocuteurs privilégiés car ils se regroupent en réseaux pour échanger et s’informer mutuellement. D’autre part, ils ont une mission d’information auprès du public.
2. Construire un projet qui réponde aux besoins réels des populations.
Il arrive qu’un projet aboutisse mais qu’il se trompe de cible ; collecter des médicaments qui alimenteront un marché parallèle, creuser un puits sans penser à la maintenance…
Un voyage de préparation au projet s’avère utile voire nécessaire ; il permet de rencontrer les Organisations non gouvernementales (ONG), associations locales, population locale.
Evaluer le risque d’agir en concurrence avec d’autres acteurs de terrain. Cette situation engendrerait des complications et vous priverait d’un collaborateur potentiel.
3. Choisir ses partenaires
Monter son propre projet de solidarité internationale implique un partenariat avec des ONG. Ce mode de collaboration permet de trouver un soutien, un appui technique et des conseils.
4. Constituer une équipe : s’associer à des collaborateurs dévoués
5. Présenter son dossier en précisant : le plan de financement ; la composition de l’équipe ; la structure (association, fondation…) ; budget prévisionnel ; les objectifs du projet ; le contexte ; la motivation…
6. Convaincre des partenaires financeurs